Résultat recherche élargie à: *** débats contemporains, type de document: cédéroms ou disques ou dvd ou jeux vidéo ou livre numérique classique ou livre-cd ou livres ou livres numilog ou livres lus ou livres numériques ou magazines ou matériel ou partitions ou sites internet, appartient à: albert camus ou authume ou foucherans ou hotel dieu ou poiset ou raymond lefèvre ou tavaux

Type de document: Cédéroms OU Disques OU DVD OU Jeux vidéo OU Livre numérique classique OU Livre-CD OU Livres OU Livres numilog OU Livres lus OU Livres numériques OU Magazines OU Matériel OU Partitions OU sites internet
Appartient à: Albert Camus OU Authume OU Foucherans OU Hotel Dieu OU Poiset OU Raymond Lefèvre OU Tavaux
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Liste des documents recherchés

Résumé
L'humanité est arrivée à un tournant : elle peut désormais prendre en main son évolution. C'est le constat du mouvement transhumaniste, qui prône l'usage des sciences et des techniques dans le but d'améliorer l'espèce humaine, en augmentant ses performances physiques et mentales. Considérant le handicap, la maladie, le vieillissement ou la mort subie comme inutiles et indésirables, le transhumanisme interroge et inquiète... Pour éclairer une réalité incontournable et un sujet complexe, cet ouvrage commence par retracer l'histoire de ce courant de pensée international. Il discute ensuite ses différentes applications technologiques. Enfin, il revisite le débat et il en interroge l'avenir. Histoire - Définitions - Débat Franck Damour, né en 1971, est agrégé d'histoire et essayiste français. Auteur de plusieurs ouvrages, il est professeur associé à l'université catholique de Lille depuis 2016.

Eyrolles, DL 2019

Résumé
Les Mirages de la certitude entend explorer l'insoluble problème du rapport corps/esprit qui hante la philosophie occidentale depuis la Grèce antique. En écrivant cet essai, mon souhait était surtout de montrer au lecteur, de la façon la plus claire possible, que les questions portant sur la nature de l'"esprit" par opposition au "corps" restent ouvertes, et sont loin d'être tranchées. Assez tôt, au cours de mes aventures dans le champ des neurosciences, j'ai été amenée à poser des questions simples aux scientifiques que je rencontrais. Pourquoi se servent-ils d'expressions comme "corrélats neuronaux", ou, plus déconcertant encore, "représentations neuronales" ? De quoi ces neurones sont-ils le corrélat, ou la représentation ? Pourquoi toutes ces métaphores empruntées à l'informatique pour décrire des actions du cerveau ? Leurs réponses étaient tout sauf claires. La problématique corps/esprit est un vaste sujet - c'est le moins qu'on puisse dire. Mais mon intention, à travers cet essai, n'est pas d'en résumer l'histoire, ni de résoudre la question : il s'agit bien plutôt d'attirer l'attention du lecteur sur les différentes façons dont cette vieille énigme philosophique influence les débats contemporains en de nombreux domaines. (...) Je me suis donc donné pour mission de mettre en évidence les myriades d'incertitudes qui subsistent et de montrer que chaque discipline, qu'elle appartienne à la famille des sciences dites "dures" ou à celles que l'on qualifie de "molles", est en partie tributaire d'éléments qui transcendent les frontières de la rationalité - à savoir le désir, la croyance, et l'imagination. S. H.

Actes Sud, 2018

Résumé
Les progrès fulgurants des biotechnologies, combinés à la révolution des technologies de l'information, laissent entrevoir un avenir radicalement différent pour l'humanité. L'homme cybernétique, le « transhumain », peut-il vraiment « sauver l'homme » ou doit-il susciter nos craintes 'À travers la critique de l'argumentaire transhumaniste, qui est fondé sur une conception appauvrie de ce qui fait l'humain, Thierry Magnin nous invite à porter un nouveau regard sur notre humble condition. Qu'est-ce que l'homme à l'heure où l'on pourra bientôt remplacer tous ses organes par des machines intelligentes, voire transférer son psychisme ' L'anthropologie chrétienne peut-elle nous aider à aborder avec confiance la révolution annoncée afin que celle-ci nous ouvre, non à un abandon de l'humain, mais à son plein accomplissement '

Albin Michel, DL 2017

Résumé
Comment élever la philosophie jusqu'aux objets du quotidien ? Comment parler du GPS, de la carte de fidélité, de l'iPhone, des capsules Nespresso, des affiches électorales, des zones fumeurs, de la 3D, de France Info, de la baguette de tradition française, du micro-trottoir ou de Lady Gaga sans verser dans la "mode de la philosophie" qui fait des bulles en pensant le trivial ? La dignité des objets que la philosophie se donne est un faux problème. À l'inverse de ceux qui, à force de demander à la philosophie d'être accessible alors qu'elle l'est déjà, en interdisent l'accès autrement que par la porte de service, l'enjeu, ici, n'est pas de descendre jusqu'au monde en simulant l'intérêt qu'on lui trouve, mais de partir de lui comme d'une matière première.

Gallimard, impr. 2013

Résumé
De façon générale, nous n'attendons de notre quotidien qu'une seule chose : nous libérer de lui. On ne s'embarrasse de la vie quotidienne que parce qu'elle est la promesse d'une autre vie, plus vraie, plus forte : vacances, fêtes, heureux imprévus. Ce livre fait le pari inverse : c'est parce que nous n'habitons pas assez notre quotidien qu'il nous fait fuir. Il est donc urgent de rendre aux gestes de la vie quotidienne toute leur portée philosophique, existentielle, symbolique. À chaque moment de la journée (Le réveil Le petit-déjeuner Le trajet sont associées une ou plusieurs notions philosophiques (La conscience La culture L'existence , ce qui permet au lecteur de consolider sa culture philosophique à partir de l'analyse précise et accessible d'exemples empruntés à la vie quotidienne.

Ellipses, impr. 2013

Résumé
L?impossible d'hier est-il devenu le possible d'aujourd'hui ? Produire des cellules artificielles, recomposer l'ADN, transformer nos cerveaux en machines artificielles, voir directement nos pensées sur un écran, réparer notre corps à l'infini grâce aux nanotechnologies jusqu'à repousser la maladie, la vieillesse, puis la mort... s'agit-il de science ou de fiction ? Comment penser ces mutations scientifiques associées à la révolution numérique, à la mondialisation, à l'écologie triomphante, à notre responsabilité planétaire ? Sommes-nous face à une prospective caricaturale ou à une étape nouvelle dans l'histoire de l'humanité ? Pour répondre à ces questions, Monique Atlan et Roger-Pol Droit ont entrepris un tour du monde scientifique dans les laboratoires des chercheurs les plus réputés. Du MIT au Collège de France, de Stanford à Saclay, de Harvard à l'École normale supérieure, à New York, Londres ou Hambourg, leur enquête sans équivalent fournit une boussole irremplaçable et accessible à tous pour identifier les carrefours de pensée et les choix qui nous attendent.Dans ce grand chantier du XXIe siècle, ils font dialoguer les disciplines et confrontent les points de vue pour renouveler cette question philosophique centrale : qu'est-ce que l'humain ?

Flammarion, impr. 2012

Résumé
Dans cet échange clair, ouvert et sans complaisance, Malek Chebel et Christian Godin renouvellent le genre du dialogue philosophique. Empruntant de nombreux exemples à l'histoire, à l'actualité et à la vie quotidienne, ils discutent librement de questions aussi essentielles que l'identité, l'amour, les droits de l'homme, la laïcité, la liberté, le racisme, la religion, l'immigration ou le terrorisme. Au fil de cet entretien vivifiant se détachent la nécessité et l'urgence, pour nos sociétés modernes, de fonder un nouveau pacte reposant sur une double exigence : la responsabilité individuelle et le respect d'autrui.

First éd., impr. 2011

Résumé
" Le soleil ni la mort ne se peuvent regarder fixement ", écrit La Rochefoucauld. Cela fait au moins une différence avec le sexe : le regarder fixement, voilà ce que peu d'hommes et de femmes, de nos jours, s'interdisent ou redoutent. Pourquoi, s'agissant de sexualité, est-ce pourtant cette formule qui m'est venue, jusqu'à me fournir, ou peu s'en faut, mon titre ? Peut-être parce que l'essentiel, ici aussi, échappe au regard, ou l'aveugle, tout en continuant de le fasciner. Le sexe est un soleil ; l'amour, qui en vient, s'y réchauffe ou s'y consume. Les mortels, disaient les Anciens pour distinguer les hommes des animaux et des dieux. Nous pourrions, tout autant, nous nommer les amants : non parce que nous serions les seuls à avoir des rapports sexuels, ni à aimer, mais parce que le sexe et l'amour, pour nous, sont des problèmes, qu'il faut affronter ou surmonter, sans les confondre ni les réduire l'un à l'autre. Cela définit au moins une partie de notre humanité : l'homme est un animal érotique.

Albin Michel, impr. 2011

Résumé
La tristesse est déjà suffisamment triste comme cela, nul besoin, donc, d'en faire une philosophie. D'autant que, à l'ériger en système, on n'aboutit qu'à une philosophie triste, qui n'est jamais qu'une "triste philosophie". Est-ce à dire qu'il n'y a rien à penser à ce sujet ? Bien évidemment non. On le sait, l'existence est semée d'embûches, de petits et grands tracas qui font souffrir. Faut-il pour autant désespérer sous prétexte d'être lucide ? Les jours tristes sont-ils une fatalité ? Comment traverser sereinement les épreuves, les vaincre et en ressortir grandi ? En ces temps incertains, où les mauvaises nouvelles proches ou lointaines nous rendent chaque jour plus pessimistes, rien de tel qu'une petite leçon de philosophie pour dire haut et fort que chaque obstacle dans la vie peut être une occasion d'avancer. Somme toute, un petit précis lumineux et très utile pour prendre la vie avec philosophie et cheminer vers le bonheur !

Milan, DL 2009

Résumé
On nous présente souvent la vieillesse comme un problème médical ou économique. Pourtant, il s'agit de bien autre chose : une étape dans l'histoire individuelle d'une femme, d'un homme, dans son projet de faire sens jusqu'au dernier de ses jours. Pourquoi distinguer les "seniors", qui ont droit à la parole et sont l'objet de sollicitations multiples, et les "vieux" relégués dans des résidences où l'on ne les voit plus, où l'on ne les entend plus? Que cherchons-nous ainsi à nous cacher? Entre Cicéron et Simone de Beauvoir, entre éloge de la vieillesse et crainte du naufrage, il est temps de retrouver les valeurs attachées à ce moment de l'existence. Et de se réapproprier, jusqu'au bout, le cours de sa propre vie.

Larousse, impr. 2008

Résumé
"Nous sommes, en tant qu'Homo sapiens, d'une affligeante banalité biologique. Sur le plan génétique, notre proximité avec les grands singes est considérable ; elle atteint 98,7 % avec le chimpanzé, elle est encore de 80 % avec la souris et de 50 % avec la levure." Pourtant, seuls parmi les êtres vivants, nous nous interrogeons sur notre nature et sur la valeur de nos actes. Ce paradoxe, au cœur du questionnement philosophique depuis des millénaires, est ici revisité à l'aide des données croisées de la théorie de l'évolution, de la génétique et des sciences cognitives, à la recherche du "propre de l'homme". Avec "L'Homme, ce roseau pensant...", Axel Kan clôt la trilogie qui a fait sa renommée littéraire et son succès, entamée avec "Et l'homme dans tout ça ?" suivi de "Raisonnable et humain ?" Comme toujours, il propose une approche pluridisciplinaire, à la fois érudite et accessible à tous les lecteurs. Chercheur de renommée internationale, Axel Kahn est docteur en médecine et docteur ès sciences, généticien, directeur de recherche à l'INSERM, directeur de l'institut Cochin. Il a été membre du Comité consultatif national d'éthique durant douze années, et a présidé la Commission du génie biomoléculaire en France ainsi que le Groupe des experts en sciences de la vie à Bruxelles.

Nil éd., impr. 2007

Résumé
La construction de soi rassemble une série de lettres qui dessinent un usage de la philosophie envisagée comme un mode de vie, une thérapeutique de l'âme. Ici, les philosophes sont interpellés et mis à l'épreuve. Tour à tour, le lecteur côtoie Boèce, Epicure, Schopenhauer, Spinoza ou Etty Hillesum. Ces guides présentent des voies pour se dégager du passé, des regrets ou de la haine de soi. Ils invitent à se libérer du regard d'autrui et ouvrent au risque de l'acceptation. Alexandre Jollien propose un dialogue intérieur qui prend la forme d'une correspondance adressée à Dame Philosophie, cette figure allégorique dont Boèce imagina recevoir la visite alors qu'il attendait dans sa prison d'être exécuté. Dans cet itinéraire, l'auteur esquisse le portrait de Dame Frayeur et de la Mort, avec lesquelles il faut bâtir une vie. Ces lettres entendent dépeindre un état d'esprit qui tente de répondre à l'invite de Spinoza : " Bien faire et se tenir en joie ".

Le Seuil, DL 2006

Résumé
«Je rêve d'un itinéraire qui m'apprenne à danser, à me départir de la dictature du on, pour progresser vers une complète déprise de soi. L'homme qui écrit ces lignes, pourquoi le cacher, a sombré au fin fond d'une addiction qui a bien failli le perdre. Dans son errance, il s'est souvent cassé la figure contre d'inefficaces injonctions, toujours cette orthopédie mentale, cette camisole de force qu'on voudrait refiler à celui qui révèle notre impuissance. À bout, il a dû emprunter des voies peu fréquentées et, pour tout dire, pas très orthodoxes. D'où le carnet de route qui suit, sorte de récit clinique, de tentatives de trouver un équilibre... C'est que la grande santé ne saurait être créée in vitro. Elle se vit, elle s'expérimente, elle s'incarne dans des êtres de chair, de larmes, de pulsions et de joies. C'est cette aventure que je m'apprête à retracer, convaincu que le philosophe ne plane pas en dehors de la cité, dans le ciel des idées, mais qu'il s'assigne pour tâche de traverser les tourments d'une vie, de scruter ce qui met en échec sa volonté et le tire vers le bas, d'aider tout un chacun à ne plus craindre le chaos pour l'habiter, allègrement.» Ce voyage au fin fond de la dépendance, cette invitation au gai acquiescement de soi emprunte deux versants. Sous la forme d'un traité, sont explorées les voies qui conduisent à la grande santé, au joyeux dire oui. En contrepoint, dans des fragments, une autre voix se donne à entendre. À la troisième personne, lointaine et pourtant si intime, l'auteur narre sa singulière quête de liberté en plein chaos. Chemin faisant, Alexandre Jollien nous livre un carnet de route, un véritable traité de déculpabilisation. Cet essai de philosophie pratique dessine un lumineux art de vivre surgi du fond du fond. Philosophe de formation et conférencier, Alexandre Jolfien est né en 1975 en Suisse. La sagesse espiègle est son neuvième ouvrage.

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