Résultat recherche élargie à: philippe delerm, type de document: cédéroms ou disques ou dvd ou jeux vidéo ou livre numérique classique ou livre-cd ou livres ou livres numilog ou livres lus ou livres numériques ou magazines ou matériel ou partitions ou sites internet, appartient à: albert camus ou authume ou foucherans ou hotel dieu ou poiset ou raymond lefèvre ou tavaux

Type de document: Cédéroms OU Disques OU DVD OU Jeux vidéo OU Livre numérique classique OU Livre-CD OU Livres OU Livres numilog OU Livres lus OU Livres numériques OU Magazines OU Matériel OU Partitions OU sites internet
Appartient à: Albert Camus OU Authume OU Foucherans OU Hotel Dieu OU Poiset OU Raymond Lefèvre OU Tavaux
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Liste des documents recherchés

Résumé
Je suis heureux. Est-ce que ça va durer ? Voilà le sujet de ce livre. Ce sera un thriller, le plus authentique du siècle. Je suis cerné de toutes parts, et jusqu'au fond de mon terrier. Sur chaque page va planer une menace de mort ou de cancer, d'accident de voiture, de mal de vivre, simplement. Mais je suis fort, j'ai plein de munitions, je vous en parlerai. Si la menace se précise, vous la vivrez au coeur de mon sang, de mon encre. Si j'en réchappe, nous partagerons le but1n. Peut-être...

Éd. du Rocher, 1998

Résumé
Sans doute, ce nouveau recueil est-il particulièrement "solaire", invités que nous sommes à goûter au plaisir transgressif du mojito, à se faire surprendre par une averse, à tremper nos lèvres dans la perfection transparente de la pastèque... Mais chez Philippe Delerm, le soleil ne va jamais sans pluie, et le bonheur sans mélancolie. Grand lecteur de Jules Renard, l'auteur le cite en exergue : "Le vrai bonheur serait de se souvenir du présent". Ce présent qui ne cesse de s'échapper, bien sûr, et dont nous avons déjà la nostalgie alors même que nous le vivons. Voici quelques exemples de ces textes. "Tendre est la vie cruelle" : sur l'amour fragile de deux personnes qui, à près de 60 ans, ont plus de passé que d'avenir à vivre ensemble, mais qu'un baiser volé va rappeler à leur adolescence. "On ne peut pas être plus près, plus chauds, plus confondus. Et pourtant c'est le fragile qu'on sent." Le bonheur de "Danser sans savoir danser" : on n'a jamais été de ceux qui fréquentent les boîtes de nuit. On admirait ceux qui, sur les pistes de danse, évoluaient si facilement. Mais un jour, à un mariage, "on choisit de danser. Danser, c'est un grand mot. On bouge comme un ours. Mais ce n'est pas grave. On a passé l'âge des susceptibilités. Chance, ça commence par un twist. On peut jouer son insuffisance au deuxième degré, en pliant les genoux, avec un mouvement de bras qui ne donne pas le change, mais semble se moquer de toute une époque - la nôtre." "Le mensonge de la pastèque" : "Elle est trop belle. Etrange. Est-ce qu'on la boit, est-ce qu'on la mange ? Elle est comme une fausse piste du désir. (...) La mangue et la goyave ont goût de mangue et de goyave. La pastèque n'a goût de rien et c'est donc elle qu'on désire en vain. Elle est la perfection de son mensonge (...) Elle n'est qu'un mirage de la chaleur et de l'été."

Le Seuil, 2015

Résumé
Dans ce nouveau livre, Philippe Delerm nous décrit, avec la finesse et l'élégance d'un peintre de miniatures, de petits tableaux de nos vies quotidiennes. Traquant les apparentes banalités de nos discours - nos petites phrases toutes faites -, il révèle pour chacune un monde de subtilité, de fragilité, de suffisance, de rires en coin... Du vécu, en somme. Admirateur de Saint-Simon et de Proust, il aime comme eux poser le doigt sur les travers de ses contemporains, les détails qui disent un monde. Lecteur de Jules Renard (particulièrement son Journal) et La Bruyère, il a le goût des portraits et des petites phrases qui dévoilent l'esprit d'une époque.

Le Seuil, DL 2012

Résumé
Elles sont nombreuses les belles raisons d'habiter sur terre. On les connaît, on les savoure, parfois on les oublie. Mais elles n'apparaissent jamais aussi fortes et claires que lorsque Philippe Delerm nous les donne à lire. Goûter aux plaisirs ambigus du mojito, se faire surprendre par une averse, contempler un enfant qui lit en bougeant imperceptiblement les lèvres, prolonger un après-midi sur la plage... L'auteur : Né en 1950, Philippe Delerm est écrivain et dirige la collection " Le Goût des mots " aux Editions Points. Il voue son écriture à la restitution d'instants fugitifs, à l'intensité des sensations d'enfance. Il est notamment l'auteur de La Première Gorgée de bière, La Sieste assassinée, Les chemins nous inventent, Elle marchait sur un fil, Un été pour mémoire, Les mots que j'aime... et La vie en relief (2021).

Points, DL 2016

Résumé
A cinquante ans, Marie se retrouve seule. Telle la marée montante, la vie a effacé la trace de ses pas. Un autre chemin reste à inventer. La rencontre d'un groupe de jeunes comédiens lui ouvre de nouveaux horizons : elle montera avec eux le spectacle qu'elle avait imaginé pour son fils. Mais le rêve peut tourner à la tragédie. Les parents doivent-ils influencer le devenir de leurs enfants? Que reste-t-il à créer lorsqu'on entame la seconde partie de sa vie?

Le Seuil, DL 2014

Résumé
Il y a vingt ans paraissait Fragiles, livre à deux mains né du désir de Philippe de poser des mots sur des images que Martine avait conçues avec juste un titre : le courage, l'amitié, la peur... Il eut le succès qu'on sait. Vingt ans ont passé et l'envie de créer un album à deux est revenue. Martine conçoit des images. Philippe écrit des textes à partir de celles-ci sans que Martine ne lui ait rien dit de ses intentions. C'est d'abord une histoire de regards. Le regard de Martine sur les choses de la vie. Le regard de Philippe sur les images de Martine. Peu à peu naissent un ton, une atmosphère. Et mystérieusement les images et les textes se répondent, s'enchaînent pour tisser la trame de l'album.

Le Seuil, 2021

Résumé
Il y a les gestes qui nous disent l'embarras, d'autres la satisfaction de soi, certains encore le simple plaisir d'exister, là maintenant, sur cette terre. Mais tous nous révèlent, dans nos gloires comme nos petitesses, nos amours comme nos détestations : le selfie, geste roi de nos vie modernes ; le "vapotage", qui relègue l'art de fumer à un plaisir furtif, presque honteux ; les hommes de pouvoir qui se grattent le dessous de leur chaussette ; cette façon qu'on a parfois de tourner le volant avec la paume de la main bien à plat ; un verre qu'on tient à la main sans le boire... A lire Philippe Delerm, on se dit souvent : "Mais oui, bien sûr, c'est exactement cela !" Mais lui seul aura su décrire ces gestes du quotidien avec tant de finesse et de vérité - tant de profonde analyse de la nature humaine.

Éd. du Seuil, DL 2019

Résumé
Est-on sûr de la bienveillance apparente qui entoure la traditionnelle question de fin d'été : « Et... vous avez eu beau temps ? » Surtout quand notre teint pâlichon trahit sans nul doute quinze jours de pluie à Gérardmer... Aux malotrus qui nous prennent de court avec leur « On peut peut-être se tutoyer ? », qu'est-il permis de répondre vraiment ? À la ville comme au village, Philippe Delerm écoute et regarde la comédie humaine, pour glaner toutes ces petites phrases faussement ordinaires, et révéler ce qu'elles cachent de perfidie ou d'hypocrisie.

Feryane, DL 2018

Résumé
« C'est facile, d'écosser les petits pois. Une pression du pouce sur la fente de la gousse et elle s'ouvre, docile, offerte. Quelques-unes, moins mûres, sont plus réticentes - une incision de l'ongle de l'index permet alors de déchirer le vert, et de sentir la mouillure et la chair dense, juste sous la peau faussement parcheminée. Après, on fait glisser les boules d'un seul doigt. »

Feryane, DL 2015

Résumé
Un hymne au bonheur ! Joyeux, poétiques et sensibles, ces textes sont comme des madeleines à partager entre enfants et adultes. Une vingtaine de textes courts dressent un panorama des petites joies et des émotions quotidiennes d'un enfant de 10 ans : petits riens ou instants forts à déguster entre les lignes, mais aussi moments rares à savourer en toute quiétude. « On a tous été baignés dans la rivière de l'enfance, mais Philippe Delerm, lui, est resté mouillé. » (Kriss, France Inter.)

Milan, DL 2017

Résumé
C'est bien, l'autoroute la nuit ; c'est bien d'être abonné à un journal ; c'est bien de se lever le premier dans la maison ; c'est bien de lire un livre qui fait peur ; c'est bien, la première fois qu'on jour au bowling ; c'est bien d'acheter des bonbons chez la boulangère... Tous ces bons moments de la vie, ces petits plaisirs du quotidien, c'est bien !

Milan, 1998

Résumé
Le jour où Arnold Spitzweg crée son blog, une petite révolution est en marche : l'employé de bureau discret jusqu'à l'effacement cède donc à la modernité mais sans renier ses principes. Sur la toile, à contre-courant du discours ambiant prônant l'activité outrancière, il fait l'éloge de la lenteur et décrit l'inclination naturelle à la paresse. Contre toute attente, les écrits intimes d'Arnold Spitzweg résonnent avec force chez des milliers d'internautes : on le félicite, on le sollicite, on parle de lui à la radio... L'homme anonyme fait l'événement. Comment vivra-t-il cette subite notoriété ?

Mercure de France, impr. 2009

Résumé
"Je me suis levé ce matin en pensant que la journée allait être bonne. Je crois que je me coucherai ce soir en me disant que je suis le plus heureux des hommes. Comment ne pas frissonner un peu à cette idée ? Je suis riche, incommensurablement riche de ce qui manque à presque tout le monde : le temps." Ce journal est celui d'un âge d'or. Choisir de vivre à la campagne loin des milieux littéraires et parisiens. Regarder par la fenêtre pousser les fleurs de son jardin, au rythme des saisons. Prendre le temps de vivre sa vie, d'admirer sa compagne, d'aimer son enfant. Ecrire en pensant qu'on sera, un jour peut-être, reconnu.

Le Seuil, DL 2016

Résumé
" Je n'ai pas l'impression d'avoir été enfant, adolescent, homme d'âge mur, puis vieux. Je suis à la fois enfant, adolescent, homme d'âge mßr, et vieux. C'est sans doute un peu idiot. Mais ça change tout. " Etre riche, à chaque époque de notre existence, de tous les moments qu'on a vécus, qu'on vit, qu'on vivra encore : c'est cela, la vie en relief. Voir ses souvenirs et ses sensations non pas additionnés les uns aux autres, mais comme démultipliés, à l'infini. Vivre comme si c'était la première fois. Trouver de la beauté dans l'ordinaire des choses. Aimer vieillir, écouter le bruit du temps qui passe.

Le Seuil, 2021

Résumé
Il est des étés qui marquent une année, parfois toute une vie. Un été définitivement planté dans la mémoire de Philippe Delerm, marqué par le souvenir indélébile et savoureux des bâtonnets à trente-cinq centimes, "quand les mots glaces à l'eau chantent le citron pur et s'en souviennent, quand il fait soif sur le désir d'été". Un été d'autant plus inoubliable qu'il est marqué par la disparition de la grand-mère, cette vieille dame qui l'embrassait "à l'étouffer", chaleureuse, attentive, rivée au passé bienheureux du narrateur. Dés lors, si le bonheur a un futur, il est resté dans l'enfance insouciante : "L'avenir, c'est avant." Aux côtés de cette grand-mère perdue pour toujours, qui fait naître le texte. En attendant le deuil, ce sont les souvenirs qui resurgissent, viennent hanter le présent, à coup d'anecdotes parfumées, sensuelles, délicates. Un jardin d'été, une cuisine, une promenade entre deux ponts, tout le bonheur simple d'un petit matin, d'un timide rayon de soleil... Sous l'égide grand-maternelle, texte de l'enfance, Un été pour mémoire est un éloge du farniente, de la flânerie. Au bout de ces évocations, de visage en paysage de la Garonne, ce sont des rêves-souvenirs qui ont gardé le goût de l'été immobile, en un temps qui "s'attarde grenadine, s'efface menthe à l'eau", repousse au plus loin le voyage à contre-enfance, celui de Paris, de l'âge adulte.

Grand Caractère, 2004

Résumé
Dans ces textes inattendus, sincères, vibrants, trois écrivains, trois pères, parlent pour la première fois de l'expérience incomparable de la paternité. Ils disent les aléas, la maladie, la peur. Ils disent l'angoisse de la mort, l'émerveillement devant la vie, la remise en question. Ils disent aussi ce que beaucoup ressentent mais que peu sont prêts à reconnaître : les tourments, les agacements et, parfois, la mélancolie. Mais toujours, unanimement, ils disent l'amour.

J'ai lu, 2021

Résumé
Balades, flâneriesà Je cherche le mot le plus léger pour dire ce que furent ces instants volés au ciel de Normandie. Oui, tout autour de chez moi, et pas très loin le plus souvent. Mais après tout, cela pourrait aussi bien être partout ailleurs. C'est le regard qui compte, et cette envie d'aller par les chemins. Bien sûr, les rivières étaient belles. Mais d'un matin de gel à la lenteur d'un soir d'été, la lumière les appelait, chaque fois différentes. J'apprenais à nommer la campagne qui m'entourait, mais elle menait toujours plus loin. J'apprenais à me perdre plus qu'à me retrouver.Dix ans de flâneries à deux, et ça, c'est un tout autre privilège. Partager le silence des chemins avec la femme que l'on aime. Je griffonnais des notes, elle prenait des photos. De ces regards croisés passaient plus tard des images et des mots qui marchaient l'amble. Il n'y avait rien que des lumières échangées et quelquefois un café chaud, très tôt, au hasard d'un village. Mais aujourd'hui je vois qu'un livre est né ; je tremble un peu de voir qu'il nous ressemble, de maraudes en chemins d'eau. Léger, fragile, un livre de balades, de saisons, dix ans flânés à regarder ensemble.Les chemins nous inventent. Il faut laisser vivre les pas.Philippe Delerm

Stock, 1997

Résumé
New York City, quartier de Wall Street. Un jeune homme est engagé dans une étude de notaire. Il s'appelle Bartleby. Son rôle consiste à copier des actes juridiques. Les premiers temps, Bartleby se montre irréprochable. Consciencieux, efficace, infatigable, il abat un travail colossal, le jour comme la nuit, sans jamais se plaindre. Son énergie est contagieuse. Elle pousse ses collègues, pourtant volontiers frondeurs, à donner le meilleur d'eux-mêmes. Un jour, la belle machine se dérègle. Lorsque le patron de l'étude lui confie un travail, Bartleby refuse de s'exécuter. Poliment, mais fermement. I would prefer not, lui répond-il. Soit, en français : je préfèrerais ne pas. Désormais, Bartleby cessera d'obéir aux ordres, en se murant dans ces quelques mots qu'il prononce comme un mantra. Je préfèrerais ne pas. Non seulement il cesse de travailler, mais il refuse de quitter les lieux... José Luis Munuera s'empare de la nouvelle d'Herman Melville dans une adaptation magistrale et porte un regard original sur ce texte, réflexion stimulante sur l'obéissance et la résistance passive.

Dargaud, 2021

Résumé
Est-on sûr de la bienveillance apparente qui entoure la traditionnelle question de fin d'été : « Et... vous avez eu beau temps ? » Surtout quand notre teint pâlichon trahit sans nul doute quinze jours de pluie à Gérardmer... Aux malotrus qui nous prennent de court avec leur « On peut peut-être se tutoyer , », qu'est-il permis de répondre vraiment ? À la ville comme au village, Philippe Delerm écoute et regarde la comédie humaine, pour glaner toutes ces petites phrases faussement ordinaires, et révéler ce qu'elles cachent de perfidie ou d'hypocrisie. Mais en y glissant également quelques-unes plus douces, Delerm laisse éclater son talent et sa drôlerie dans ce livre qui compte certainement parmi ses meilleurs. Inventeur d'un genre dont il est l'unique représentant, « l'instantané littéraire », Philippe Delerm s'inscrit dans la lignée des grands auteurs classiques qui croquent le portrait de leurs contemporains, tel La Bruyère et ses Caractères.

Le Seuil / Seuil Jeunesse / L'Olivier / Points / Pointdeux, 2018