Résultat recherche élargie à: les artistes (études biographiques, critiques), type de document: cédéroms ou disques ou dvd ou jeux vidéo ou livre numérique classique ou livre-cd ou livres ou livres numilog ou livres lus ou livres numériques ou magazines ou matériel ou partitions ou sites internet, appartient à: albert camus ou authume ou foucherans ou hotel dieu ou poiset ou raymond lefèvre ou tavaux

Type de document: Cédéroms OU Disques OU DVD OU Jeux vidéo OU Livre numérique classique OU Livre-CD OU Livres OU Livres numilog OU Livres lus OU Livres numériques OU Magazines OU Matériel OU Partitions OU sites internet
Appartient à: Albert Camus OU Authume OU Foucherans OU Hotel Dieu OU Poiset OU Raymond Lefèvre OU Tavaux
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Résumé
Quelle aventure d'être un génie ! J'en sais quelque chose, moi qui suis né enfant sans avenir, dans les collines toscanes. Aujourd'hui, je mène une vie de roi dans le Royaume de France. Un conte de fées ? Non, bien mieux : c'est le récit de condottieri et de batailles, de belles dames et de rivaux redoutables, d'inventions étonnantes et de conspirations mortelles. L'histoire de Léonard de Vinci racontée par moi-même, Léonard en personne !

Nuinui jeunesse, 2021

Résumé
Des questions concrètes et des réponses courtes, pour faire le tour d'un sujet ! Pourquoi dit-on que Léonard est un génie ? A-t-il pu vivre de son art ? Où a-t-il vécu ? Quelle est son oeuvre la plus connue ? A-t-il inventé des machines de guerre ? Que sont devenus ses carnets ? Pour mieux comprendre : Une grande scène dans son atelier, une carte des endroits où il a vécu, une galerie de portraits présentant ses mécènes, une analyse de la Joconde, des schémas présentant ses machines...

Nathan, DL 2012

Résumé
Walter Isaacson tisse dans cet ouvrage unanimement salué par la critique un récit de la vie intime et publique de Léonard de Vinci, basé sur les milliers de pages des carnets qu’il a laissés et de nouvelles découvertes sur sa vie et son oeuvre. Il dépeint l’émergence de son génie, alimenté par une curiosité passionnée, une capacité d’observation de tous les instants et une imagination sans limites. La créativité de Léonard trouve sa source à la croisée des sciences humaines et de la technologie. Il a épluché la chair des cadavres, dessiné les muscles qui actionnent les lèvres, puis peint le plus mémorable sourire de l'histoire sur la Joconde. Il a exploré les mathématiques de l'optique, montré comment les rayons lumineux frappent la cornée et produit les illusions des perspectives changeantes de La Cène. Sa capacité à combiner l'art et la science reste aujourd’hui encore la recette ultime de l’innovation. Son inadéquation aux moeurs de l’époque (Léonard était un enfant illégitime, gay, végétarien, gaucher, facilement distrait et parfois hérétique) a décuplé sa créativité. Sa vie nous rappelle l'importance d'inculquer à nos enfants comme à nous-mêmes la nécessité de toujours remettre nos connaissances en question, de faire preuve d’imagination et, à l’instar de tous les rebelles talentueux et inadaptés qui ont marqué l’histoire, de penser différemment.

Quanto,

Résumé
Dans son travail, Giulia Andreani réinterprète des photographies d'époque mais aussi la mémoire collective. L'artiste propose une peinture qui réactive l'image photographique, évoquant les photos de famille ou les images de groupes utilisées par Gerhard Richter dans ses tableaux des années 1960. Elle explique son travail ainsi : « Je cherche des photographies orphelines, qui ne sont pas exploitables ou qui n'ont souvent pas beaucoup d'intérêt en soi. Elles gagnent alors de l'intérêt une fois entrées dans l'atelier et immergées dans un nouveau bain révélateur, qui est celui de ma peinture. » Voilà donc la finalité de sa quête picturale : produire une nouvelle image par «révélation», comme l'on plonge une photo argentique dans le révélateur. Afin de faire revivre sur ses toiles des sujets oubliés par l'histoire, elle utilise une peinture très diluée, avec des effets de matières, d'ombres, de coulures et un effacement permanent. Ces images sont réalisées comme des monochromes au « gris de Payne », une teinte magnétique qui évoque les daguerréotypes et les photos anciennes. Cette couleur unique met une distance et uniformise la peinture de l'artiste. Giulia Andreani opère un renversement et utilise la peinture comme « un outil de représentation d'images marquantes de l'histoire ensevelie car considérée comme inconfortable, problématique » et à laquelle sont attachées des personnes oubliées. Elle peint de ce fait souvent des femmes, des figures portant une vision critique comme dans ses œuvres réalisées lors de sa résidence à la Villa Médicis l'année passée.

Éd. Dilecta, DL 2019