Résultat recherche élargie à: philosophie de france, type de document: cédéroms ou disques ou dvd ou jeux vidéo ou livre numérique classique ou livre-cd ou livres ou livres numilog ou livres lus ou livres numériques ou magazines ou matériel ou partitions ou sites internet, appartient à: albert camus ou authume ou foucherans ou hotel dieu ou poiset ou raymond lefèvre ou tavaux , page 4

Type de document: Cédéroms OU Disques OU DVD OU Jeux vidéo OU Livre numérique classique OU Livre-CD OU Livres OU Livres numilog OU Livres lus OU Livres numériques OU Magazines OU Matériel OU Partitions OU sites internet
Appartient à: Albert Camus OU Authume OU Foucherans OU Hotel Dieu OU Poiset OU Raymond Lefèvre OU Tavaux
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Liste des documents recherchés

Résumé
Dans son livre, De quoi Sarkozy est-il le nom ?, Alain Badiou proposait de nommer " hypothèse communiste " ce qui, depuis la Révolution française, a animé les politiques révolutionnaires, ou politiques d'émancipation. Le jugement que l'histoire officielle tente d'imposer est que toutes les tentatives de réalisation de cette hypothèse s'étant soldées par de tragiques échecs, l'hypothèse elle-même serait invalidée par l'Histoire. Le présent volume veut envisager directement la fameuse preuve historique de cet " échec ", à travers trois exemples fondamentaux qui le caractérisent - la Commune de Paris, la Révolution culturelle et Mai 68. Il pose que, pas plus en matière de politique qu'en matière de science, l'échec local d'une tentative n'autorise à éluder le problème dont elle proposait une solution; que de nouvelles solutions doivent être aujourd'hui imaginées pour résoudre les problèmes sur lesquels cette expérimentation a buté. C'est ce que fait le dernier texte de ce livre, prononcé à Londres, en mars 2009, lors d'un important colloque précisément intitulé " L'Idée de communisme ". " Le capitalisme et sa "démocratie" de surface, c'est ce qui est vieux, c'est ce qui est condamné, c'est le renoncement à penser, le renoncement à agir selon les principes d'une pensée. C'est l'hypothèse communiste, quel que soit le nom qu'on lui donne (émancipation, égalité... ), qui est nouvelle et légitime."

Nouvelles éd. Lignes, impr. 2009

Résumé
Qui ne rêverait d'interroger René Descartes aujourd'hui et de lui poser des questions sur les extravagances de la religion, les excès du progrès technique, la naissance de l'écologie, la liberté ? C'est à Amsterdam, puis à Stockholm, que Mazarine Pingeot a choisi de rencontrer René Descartes, peu de temps avant sa mort. Au cours de leur entretien, elle l'entraîne à expliciter son oeuvre et montre comment il sort la philosophie de sa prison théorique pour en faire une manière de vivre. René Descartes nous invite à mettre en doute tous nos préjugés afin d'accéder à une pensée propre, à nous affranchir des passions qui nous entravent, à nous libérer du désir de gloire et de vanité, à rechercher la vérité qui ne peut être que notre vérité.Plus de trois siècles après sa disparition, Descartes n'a rien perdu de sa modernité. Converser avec lui, c'est regarder autrement notre société dans la perspective d'y vivre plus libre.

Plon, impr. 2011

Résumé
La métaphysique semble appartenir à des temps anciens où l'on s'interrogeait sans fin sur des questions érudites, sans réel enjeu, loin des préoccupations de la réalité. Proche de la religion, la métaphysique, qui s'inquiète elle aussi de Dieu et de son existence, n'aurait plus sa place dans les consciences et les sociétés modernes. Un droit, une morale et une politique efficaces suffiraient. En réalité, la métaphysique gouverne nos vies et pose des questions qui ne cessent de nous hanter : pourquoi y aurait-il de l'être plutôt que rien ? A quoi sert de vivre s'il faut mourir ? Que vaut la vie ? Le suicide serait-il la meilleure solution ? Montrer que la vie vaut la peine, qu'elle est bien qu'aucun bien ne peut égaler, telle est la tâche de la métaphysique. Pour que la vie ait un sens, il faut une métaphysique pour la penser. Ainsi, loin d'éloigner de la vie, la métaphysique en est l'infrastructure. L'homme est un " animal métaphysique " comme le déclarait en son temps Schopenhauer.

Le Seuil, DL 2011

Résumé
Ce récit est un document.Par petites touches accumulant les choses vues, les petits faits vrais, mêlant l'analyse à l'autobiographie, il relate avec l'objectivité d'un témoin ce que furent les événements de 68 .Etait-ce une farce ? Peut-être. En tout cas, cette farce aura duré quinze ans. Mais, bien qu'on l'ait eue longtemps sous les yeux, on y avait si peu cru qu'on ne l'avait pas vue.Sans doute ce récit fait-il comprendre comment a pu se produire en quelques mois l'éffondrement de l'Université.Mais il montre bien davantage combien cette agitation n'était que le symptôme tardif d'une crise bien plus ample et profonde dont on avait entendu les premières craquements dès 1924.Une civilisation finissait, alors qu'une autre avait déjà commencé. On ne se rappelle déjà presque plus la première. Nous vivons dans la seconde.Il en est de la civilisation comme de la géologie. Il y a des plaques tectoniques. D'où venait le vacarme de 68, on ne le comprenait pas. C'était le bruit que faisait une plaque au moment où elle allait en recouvrir une autre. N. G.

Bernard Grasset, impr. 2012

Résumé
"L'immigration qui contribue et contribuera toujours davantage au peuplement du Vieux Monde renvoie les nations européennes et l'Europe elle-même à la question de leur identité. Les individus cosmopolites que nous étions spontanément font, sous le choc de l'altérité, la découverte de leur être. Découverte précieuse, découverte périlleuse : il nous faut combattre la tentation ethnocentrique de persécuter les différences et de nous ériger en modèle idéal, sans pour autant succomber à la tentation pénitentielle de nous déprendre de nous-mêmes pour expier nos fautes. La bonne conscience nous est interdite mais il y a des limites à la mauvaise conscience. Notre héritage, qui ne fait certes pas de nous des êtres supérieurs, mérite d'être préservé, entretenu et transmis aussi bien aux autochtones qu'aux nouveaux arrivants. Reste à savoir, dans un monde qui remplace l'art de lire par l'interconnexion permanente et qui proscrit l'élitisme culturel au nom de l'égalité, s'il est encore possible d'hériter et de transmettre." A. F

Stock, impr. 2013

Résumé
"Ce que j'appelle la révolution de l'amour, c'est-à-dire la naissance de la famille moderne, enracinée dans le passage du mariage arrangé au mariage choisi par et pour l'amour, a transformé nos vies. Elle apporte un nouveau principe de sens, qui recquiert une nouvelle philosophie.Elle ne bouleverse pas seulement nos existences privées, mais tout notre rapport au collectif. C'est ce que j'appelle le deuxième humanisme." Le premier fut un humanisme de la Loi et de la raison. C'était celui des Lumières et des droits de l'homme, des républicains français et de Kant. Le deuxième humanisme est un humanisme de la fraternité et de la sympathie. Ma conviction est qu'il est désormais la seule vision du monde portée par le souffle d'une utopie positive. Car l'idéal qu'elle vise à réaliser n'est plus celui des nationalistes ni de l'idée révolutionnaire. Il ne s'agit plus d'organiser de grands massacres au nom de principes mortifères qui se voulaient extérieurs et supérieurs à l'humanité, mais de préparer l'avenir de ceux que nous aimons le plus, c'est-à-dire des générations futures.

Odile Jacob,

Résumé
Essai conçu sur le principe du journal, organisé par dates. Les thèmes sont nombreux : l'éducation, l'école, la dénonciation du jeunisme des circulaires administratives et ministérielles, Israël et les implantations, le sionisme et les questions relatives à la judéité. Le philosophe se réserve également un droit de réponse à de nombreuses publications dans les médias le concernant.

Gallimard, 2002