Résultat recherche élargie à: alain gnaedig, type de document: cédéroms ou disques ou dvd ou jeux vidéo ou livre numérique classique ou livre-cd ou livres ou livres numilog ou livres lus ou livres numériques ou magazines ou matériel ou partitions ou sites internet, appartient à: albert camus ou authume ou foucherans ou hotel dieu ou poiset ou raymond lefèvre ou tavaux

Type de document: Cédéroms OU Disques OU DVD OU Jeux vidéo OU Livre numérique classique OU Livre-CD OU Livres OU Livres numilog OU Livres lus OU Livres numériques OU Magazines OU Matériel OU Partitions OU sites internet
Appartient à: Albert Camus OU Authume OU Foucherans OU Hotel Dieu OU Poiset OU Raymond Lefèvre OU Tavaux
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Liste des documents recherchés

Résumé
Difficile pour Smilla Jaspersen de croire en la mort accidentelle d'Esajas. Impossible même parce que Smilla ne croit pas qu'un enfant atteint de vertiges chroniques puisse sauter du toit d'un immeuble. Parce qu'elle s'était prise d'affection pour ce gamin groenlandais, délaissé par sa mère. Parce que Smilla est groenlandaise, elle aussi, et que sa mère, esquimaude, lui avait appris " l'amour de la neige ". Et que la neige ne ment pas, contrairement aux hommes. Commence alors pour cette femme solitaire et obstinée une quête pour la vérité et l'honneur qui l'amènera sur les traces d'un bateau en route pour les terres arctiques, à la découverte d'une infâme machination qui risque de lui coûter la vie...

Éd. du Seuil, 1995

Résumé
Le livre Marstal : une petite ville sur une modeste île de la Baltique, qui fait elle-même partie d'une minuscule nation... Mais en 1848, elle abrite une nouvelle génération d'hommes déterminés à conquérir les océans, à quitter le Danemark et à naviguer aussi loin que le vent les portera... Des hommes contraints à une guerre permanente : contre des pays ennemis, contre la mer, contre les femmes qu'ils aiment, les uns contre les autres, et surtout contre leurs propres pulsions inavouables... Une histoire de courage, de cruauté, de violence, de passion et de perte... Car la mer exige toujours son dû aux hommes, comme l'anticonformiste Lauritz, qui va au paradis et en revient ! Et son fils Albert, qui découvre une mystérieuse tête réduite. Et Knud-Erik, à qui la Seconde Guerre mondiale exige ce que la morale interdit... Il en va de même pour leurs femmes : les veuves des noyées, et Klara, l'ange terrible de Marstal. De la rocaille stérile de Terre-Neuve à la végétation luxuriante des Samoa, des bars les plus louches de Tasmanie aux côtes glaciales du nord de la Russie, Nous, les noyés est l'histoire épique des hommes de Marstal, de leur goût pour les horizons lointains, du retour au bercail des survivants, et de la disparition de ceux qui se sont noyés en route. L'auteur Né en 1952 à Marstal (Danemark), Carsten Jensen est un journaliste reconnu pour ses essais et ses articles de presse. En tant qu'écrivain, il se fait connaître en 1996 grâce à son roman I Have Seen the World Begin pour lequel il reçoit le prix « Golden Laurels ». La même année, il publie un second roman I Have Heard a Shooting Star. Paru en 2006, Nous, les noyés rencontre un incroyable succès critique et public : les droits de traduction de ce best-seller ont été vendus dans vingt pays. En 2007, Carsten Jensen reçoit pour son roman le plus prestigieux des prix littéraires danois : le Danske Banks Litteraturpris. Nous, les noyés est le premier roman de cet auteur, considéré comme l'un des plus prometteurs de sa génération, traduit en français.

Libella-M. Sell, DL 2010

Résumé
Deux amis d'enfance, l'un à Copenhague, l'autre à New York. Une lettre qui arrive après la mort de son expéditeur. Une femme, soeur de l'un et maîtresse de l'autre. Des estampes japonaises, un hôtel de passe, une grande demeure bourgeoise. Comment comprendre la vie d'Adrian, terrassé par une crise cardiaque à quarante ans à peine, à partir de ces quelques éléments, comment renouer les fils épars de l'histoire de leur amitié ? C'est à ces questions que le narrateur de Bruits du coeur, dont nous ne saurons jamais le nom, essaie de répondre, en remontant le cours de ces deux vies étroitement liées. Il revient sur leur enfance, leurs échecs sentimentaux, leurs choix professionnels, cette envie d'être à la place de l'autre. Mais avant tout, il cherche à comprendre les mouvements du c'ur et du désir qui ont donné à la vie d'Adrian et à la sienne ces contours parfois chaotiques. Dans un roman très dense, où de multiples intrigues s'enchâssent les unes dans les autres, Jens Christian Grøndahl, avec une immense tendresse pour ses personnages, écoute attentivement ces «bruits du coeur» - toutes les facettes de l'amour humain - et nous offre une lecture riche d'interrogations et d'une grande subtilité.

Gallimard, 2003

Résumé
Nina vit à Copenhague, comme sa grand-mère Gladys. Ce jour-là, celle-ci lui montre une photo d'elle et de sa meillleure amie, quand elles avaient son âge. Elle aussi s'appelait Nina. C'était la guerre... Son amie était partie et n'avaient plus jamais donné de nouvelles. Gladys et sa petite-fille font alors une rencontre inattendue en descendant un étrange escalier, l'escalier du temps...

Gallimard Jeunesse, DL 2014

Résumé
"Le pays se lavait les mains. Oui, et même un grand nombre de ceux qui avaient vraiment fait quelque chose savaient qu'ils auraient pu faire davantage, et ils n'avaient pas envie qu'on le leur rappelle". Pendant la guerre, Ingrid Barroy avait sauvé, soigné et aimé Alexander, un Russe survivant du naufrage du Rigel, qui avait coulé au large des côtes du Helgeland. De cet amour aussi bref que libre était née une petite fille, Kaja. Début 1946, la guerre est terminée, Kaja a dix mois, et Ingrid décide, contre l'avis de tous, de partir à la recherche de celui qu'elle présente comme son "homme". Avec sa fille sur le dos et la valise à la main, elle va suivre Alexander à la trace dans toute la Norvège, d'une ferme à une autre, d'une gare à l'autre, de pêcheur en passeur, de bßcheron en médecin. Les yeux du Rigel est le troisième volume de la trilogie consacrée à Ingrid Barroy. C'est le voyage d'une femme qui quitte son île pour la terre ferme, la forêt, les villes et même l'étranger, et qui rentre dans son île, après avoir croisé des hommes et des femmes pleins de cicatrices extérieures et de blessures internes, dans une Norvège qui, si elle n'est plus ravagée par la guerre, n'est pas en paix avec elle-même. On retrouve ici tout le talent de Roy Jacobsen, qui sait si bien mêler avec force et poésie la grande Histoire et les destins de gens modestes, ainsi que les ombres du passé.

Gallimard, 2021

Résumé
Aujourd'hui, dans nos sociétés occidentales, le temps n'est plus perçu comme une richesse, mais comme un bien nous faisant défaut. Notre rapport au temps se caractérise par une attitude négative : nous nous plaignons de notre manque de temps, nous avons l'impression de courir après le temps, nous nous demandons où trouver le temps.Ces Dix considérations sur le temps nous invitent à penser différemment cette notion du temps. Revenant à l'idée que le temps est un capital inestimable pour l'homme et non «une denrée rare», Bodil Jönsson nous amène à réfléchir sur une meilleure utilisation du temps. Son travail de physicienne, mais aussi ses expériences personnelles, lui servent d'exemples quand elle oppose le temps des horloges au temps vécu, ou quand elle se fait l'avocat des temps d'arrêt, nécessaires à la pensée. Des phénomènes comme le zapping ou le téléphone portable sont également analysés avec humour et finesse, mais en dehors de la pertinence de ses réflexions, la prouesse que réussit Bodil Jönsson, c'est de nous donner l'impression - une fois le livre refermé - d'avoir enfin du temps.

Gallimard, 1999

Résumé
Ellinor a soixante-dix ans. Elle vient de perdre Georg, son mari, et elle a rapidement décidé de vendre leur maison, dans la banlieue chic de Copenhague, afin de retourner vivre à Vesterbro, le quartier populaire de son enfance. Et Ellinor va se raconter. Elle s'adresse à Anna, sa meilleure amie, qui était la première femme de Georg. Et la maîtresse de Henning, son mari à elle. Anna et Henning ont été emportés par une avalanche dans les Dolomites, pendant des vacances que les deux couples passaient ensemble, au cours des années soixante. Ce roman d'une vie vécue longuement à la place d'une autre mêle les surprises, la rancœur, l'agressivité et la jalousie. Et les regrets.

Gallimard, DL 2018

Résumé
Un soir, Hugo et son ami prennent une grande décision : ils vont capturer un requin du Groenland, qui peut mesurer jusqu'à huit mètres, et vivre plus de deux cents ans. Au fil de trois séjours sur l'île de Skrova, dans le nord de la Norvège, où le narrateur rend visite à son ami peintre et pêcheur, le défi des deux hommes se mue en une quête quasi mystique : capturer ce requin, c'est d'abord approcher un spécimen d'une force hors du commun. C'est repousser ses limites physiques et prendre des risques réels, sur un canot pneumatique, en utilisant un hameçon au bout d'une ligne. C'est tenter de combattre les éléments qui se déchaînent lors d'une tempête, enrager lorsque la sortie en mer est rendue impossible par un moteur défaillant, supporter la frustration de ne jamais voir arriver l'animal au moment où l'on est prêt. Cette chronique de l'attente d'une pêche miraculeuse est aussi celle de l'amitié entre deux hommes envoûtés par la mer qui abrite tant de mystères et d'habitants à la fois fascinants et effrayants. En faisant coexister une étonnante érudition scientifique et un sens de l'humour renouvelé par l'absurdité de la situation, Morten A. Strłksnes livre ici une sorte de journal de voyage animé par un véritable suspense. Dans le sillage d'Herman Melville et de Jules Verne, quelque part entre le récit fantastique, les légendes nordiques, l'étude biologique et la rêverie, le livre de la mer nous invite à un périple singulier auprès de ces marins téméraires et un peu fous. Né en Norvège en 1965, Morten A. Strłksnes est écrivain, journaliste et photographe. Il a publié des récits de voyage, des reportages littéraires, des essais, et collabore à plusieurs journaux et magazines. Le livre de la mer a reçu un accueil enthousiaste de la part du public et a obtenu en Norvège le prix des Critiques 2015 pour le meilleur ouvrage de non-fiction.

Gallimard, DL 2017

Résumé
Quand un policier d'Oslo est assassiné à la date anniversaire et sur les lieux d'un crime non élucidé, cela n'est certainement pas un hasard. Et lorsque deux autres policiers qui ont participé à des enquêtes infructueuses sont tués à leur tour, c'est une évidence : un meurtrier brutal aux méthodes bestiales rôde dans les rues de la capitale norvégienne. La police ne dispose d'aucun indice et, pire encore, elle déplore l'absence de son meilleur limier. Mais aujourd'hui, l'inspecteur Harry Hole n'est plus en mesure d'aider ni de protéger quiconque. Pendant ce temps, à l'hôpital d'Oslo, un homme gravement blessé est dans le coma. Personne ne connaît son nom. Même les policiers chargés de le protéger n'ont pas le droit d'approcher le patient. S'il reprenait conscience, cet inconnu aurait pourtant bien des secrets à révéler..

Gallimard, impr. 2014

Résumé
Étrange, fantastique, mystérieuse, passionnante, gorgée de richesses, peuplée d'êtres merveilleux : telle est notre Terre. Pour nous en convaincre, il suffit d'ouvrir au hasard cet Atlas joyeux et coloré. Quel est l'animal le plus mortel du monde ' Où se cachent la grenouille à flèche et la guêpe de mer ' Jusqu'où plongent les fosses océaniques ' Qui était l'exploratrice la plus élégante ' Qu'appelle-t-on la Mer des Pirates ' Prenez garde : si vous voulez faire de votre enfant un petit casanier sans imagination, ne lui offrez ce livre à aucun prix ! A partir de 7 ans.

L'Ecole des loisirs, 2017

Résumé
C'est au seuil de la vieillesse que le narrateur décide de nous raconter son histoire, trois moments de vie qui sont autant d'étapes décisives dans la construction de sa personnalité et de sa sensibilité. Il dépeint tout d'abord ses jeunes années et le tournant qu'a représenté le cancer de sa mère. À l'époque, le narrateur avait décidé d'approfondir sa connaissance de l'allemand afin de pouvoir lire Karl Marx et finalement découvrir une littérature germanique qui bouleverse son adolescence, de Thomas Mann à Rainer Maria Rilke. C'est aussi l'époque des premières amours et de la rencontre avec la fille de son professeur d'allemand, qui lui permet de découvrir Berlin d'avant la chute du mur. Puis vient l'âge de raison, le mariage, la naissance de sa fille Julie, et le divorce. Le narrateur a une quarantaine d'années, il est à présent enseignant et accueille un garçon d'origine serbe dans sa classe. Stanko le fascine, sa discrétion comme cette maturité arrogante qui rejaillit parfois. Mais c'est la rencontre avec la mère du jeune homme qui le trouble encore davantage, notamment lorsqu'elle lui montre une vidéo d'elle et son mari, depuis disparu, lors d'une croisière sur le Danube au moment de passer les Portes de Fer, entre la Serbie et la Roumanie. Passion à nouveau éphémère qui le renvoie en fin de compte à sa condition d'homme solitaire et de père en alternance. À la veille de ses soixante ans enfin, c'est à Rome que nous le retrouvons. Grand-père depuis peu, le narrateur fait une nouvelle rencontre inopinée avec une photographe. Elle l'invite chez elle pour lui montrer son travail avant d'accepter de partir avec lui à Paestum, photographier ces ruines encore vivantes. Jens Christian Grøndahl brosse le portrait de cet homme et de son histoire avec une grande justesse, il s'immisce dans ses remords, ses obsessions, ses envies profondes. Les Portes de Fer parle d'amour et de solitude mais également du désenchantement de l'individu occidental, de ce drame bourgeois que le grand auteur danois réussit à croquer avec une lucidité et une élégance toutes singulières.

Gallimard, 2016

Résumé
"Quand le souffle passait en sifflant au-dessus de ma tête, c'était le vent dans les grands arbres de la forêt, et non la pluie. Quand il rasait le sol, c'était le vent dans les buissons et les hautes herbes, mais ce n'était pas la pluie. Quand il bruissait et chuintait à hauteur d'homme, c'était le vent dans les champs de maïs. Il possédait si bien les sonorités de la pluie que l'on se faisait abuser sans cesse, cependant, on l'écoutait avec un plaisir certain, comme si un spectacle tant attendu apparaissait enfin sur la scène. Et ce n'était toujours pas la pluie.Mais lorsque la terre répondait à l'unisson d'un rugissement profond, luxuriant et croissant, lorsque le monde entier chantait autour de moi dans toutes les directions, au-dessus et au-dessous de moi, alors c'était bien la pluie. C'était comme de retrouver la mer après en avoir été longtemps privé, comme l'étreinte d'un amant." (trad. Alain Gnaedig.)

Gallimard, 2005

Résumé
Ecrites peu après la création de la Détective Police, ces histoires sont parmi les toutes premières d'un genre promis à un avenir brillant : le " polar ". Ce sont des récits d'enquêtes et de patrouilles menées par les fins limiers de Scotland Yard accompagnés par Dickens, alors au sommet de sa gloire. Avec l'inspecteur Field et ses hommes, nous pénétrons dans les taudis du Rats Castle où aigrefins et vide-goussets, mendiants, prostituées et maquereaux se côtoient. Nous assistons à l'arrestation d'un escroc dans un pub enfumé. Nous flottons le long de la Tamise dans une barque de la police fluviale guettant les ombres et les chuchotements de ceux qui s'affairent la nuit dans les docks. Partagé entre son admiration pour les enquêteurs de la police et la fascination du monde interlope des bas quartiers londoniens, Dickens déploie ici tout son talent pour peindre la face cachée de la société victorienne.

Calmann-Lévy, 2002

Résumé
À cinquante-six ans, Irene Beckman voit son univers s'effondrer. "L'idée que tout puisse rester identique est peu à peu devenue aussi irréelle que l'idée d'un changement. Ce qui lui était inimaginable s'est réalisé, mais elle ne parvient pas à se le représenter. Peut-être est-ce la banalité de la chose qui entrave son imagination. Le côté trivial de la situation est presque plus dégradant que ses aspects corporels et sentimentaux, voire moraux."

Gallimard, impr. 2005

Résumé
Les meilleures années appartiennent-elles toujours au passé ? En est-on responsable ? Ces questions viennent hanter Ingrid Dreyer, architecte et mère divorcée, au cours de quatre jours dramatiques, où plus rien ne se révèle être comme elle le croit. Lorsque son fils adolescent est arrêté pour des actes de violences, lorsque sa relation à un homme plus âgé et marié prend un tour inattendu, Ingrid Dreyer replonge dans les souvenirs de sa jeunesse solitaire et de son mariage raté, afin de tenter de comprendre pourquoi sa vie commence à ressembler à une impasse. Est-elle condamnée à reproduire les comportements, les lubies et les erreurs de sa mère, femme de lettres, qui a connu jadis son heure de gloire ? Les histoires de ces femmes ne sont-elles que les variations d'un même thème et d'un même drame ? Après Sous un autre jour et Les mains rouges, Jens Christian Grondahl propose ici un nouveau portrait de femme de notre temps, avec cette profondeur psychologique et cette subtilité stylistique qui sont sa marque. Les trajectoires d'un certain nombre de personnages reliés entre eux par le sang, les rencontres ou les circonstances s'interpénètrent, se racontent par épisodes alternés, faits en grande partie de discours intérieurs, de va-et-vient entre présent et passé, de souvenirs, de drames muets et intimes Classique dans sa construction, le récit est pourtant plus exigeant qu'il n'y paraît : les péripéties sont toujours celles de l'âme plus que celle de l'histoire ou des corps. D'où cette impression de minutage précis des journées, de mélange de suspens, de fluidité, d'actes anodins et de pensées vertigineuses. Il faut, à l'évidence, être maître de son art pour garder l'intensité du récit densemble, ce que Grondahl réussit une fois de plus.

Gallimard, impr. 2011

Résumé
Vous est-il déjà arrivé de vous demander comment le Père Noël arrive jusqu'au pied de votre sapin pour y déposer vos cadeaux ? Est-ce qu'il se rétrécit pour passer par la cheminée ? Y va-t-il la tête la première ou les pieds en avant ? Mais s'il n'y a pas de cheminée ? Se glisse-t-il sous la porte ? Et s'il y a des chiens ? Comment peut-il bien se débrouiller ? !

Pastel, L'Ecole des loisirs, DL 2023