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Répétition de La Belle au bois dormant de Noureev au Palais des Sports
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Très vivant reportage réalisé au Palais des Sports en janvier 1976 pendant les répétitions de La Belle au Bois Dormant dans la chorégraphie de Marius Petipa revue par Rudolf Noureev. On y découvre de larges extraits de la célèbre Valse des fleurs interprétée par le London Festival Ballet, puis Noureev en manteau et casquette de cuir intervient pour régler un problème d'éclairage. Le spectacle reprend avec la variation d'entrée de Noureev en costume du prince Florimond au second acte. On revient au premier acte avec le célèbre Adage à la Rose interprété par Eva Evdokimova en princesse Aurore entourée de quatre prétendants, et le reportage s'achève sur la seconde variation de Noureev au deuxième acte, brillant et décontracté.
La Belle Hélène d'Offenbach filmée par Stellio Lorenzi
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Dans cette scène fameuse de La Belle Hélène de Jacques Offenbach, filmée en studio par Stellio Lorenzi, les rois de la Grèce arrivent les uns après les autres sur la place de Sparte où doivent avoir lieu des jeux. Après les deux Ajax, Achille, Ménélas et Agamemnon, c'est Hélène elle-même, épouse de Ménélas, qui fait son entrée.
Luis Mariano chante La Belle de Cadix
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Dans une émission spéciale de 1967, Guy Lux accueille Luis Mariano qui interprète la chanson principale de l'opérette La Belle de Cadix de Francis Lopez. Ce dernier est au piano.
Ivo MALEC, Cantate pour elle
ina.fr
"Aller au-delà de ce que l'on considérait récemment encore comme la limite d'un instrument, voire de la voix, semble aujourd'hui devenir une démarche habituelle et nécessaire. Au lieu de vouloir surprendre, je me suis limité ici à écouter et suivre la très belle leçon qu'on reçoit chaque fois que l'on tourne le dos au "normal" pour s'en aller chercher du côté des cas extrêmes ce que l'on peut faire avec "ce qui n'est pas à faire"
Peter FOLDES, La belle cérébrale
ina.fr
A quoi rêvent les modèles de peintres pendant leur temps de pause ? L'univers fantasmatique d'une jeune fille préoccupée par sa seule beauté... Un mélange de prises de vues réelles, d'animation et de trucages vidéographiques. La belle cérébrale, c'est un mannequin de mode dénudé que la caméra de Peter FOLDES caresse comme un corps étranger. Indifférente à ce qui l'entoure, cette femme s'ennuie. Elle semble ne pas entendre la conversation vulgaire de deux hommes qui mangent en attendant un certain Léopold qu'on ne verra jamais, pas plus que la radio qui diffuse un reportage angoissant. Pour se distraire, elle se fait les ongles, puis se met à rêver. Un monde imaginaire se substitue bientôt à la réalité, où des objets divers : bonbons, verres de vin, téléphone, fleurs, bijoux, perruque l'accaparent et l'occupent successivement ; objets du désir auxquels l'animation image par image donne une totale indépendance de mouvement. Puis la femme rêve de danse et sur une musique de François BAYLE, son corps dédoublé en couleurs décomposées se reflète et se multiplie comme dans un kaléidoscope. Après des images paroxystiques, le visage de la femme saccadé par les images violentes d'un film d'espionnage, une voix la ramène à la dure réalité du métier de modèle : il lui faut sourire et reprendre la pose pour une toile qui vante "le dentifrice aux fleurs".
Ivo MALEC, Cantate pour elle
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"Aller au-delà de ce que l'on considérait récemment encore comme la limite d'un instrument, voire de la voix, semble aujourd'hui devenir une démarche habituelle et nécessaire. Au lieu de vouloir surprendre, je me suis limité ici à écouter et suivre la très belle leçon qu'on reçoit chaque fois que l'on tourne le dos au "normal" pour s'en aller chercher du côté des cas extrêmes ce que l'on peut faire avec "ce qui n'est pas à faire"
Peter FOLDES, La belle cérébrale
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A quoi rêvent les modèles de peintres pendant leur temps de pause ? L'univers fantasmatique d'une jeune fille préoccupée par sa seule beauté... Un mélange de prises de vues réelles, d'animation et de trucages vidéographiques. La belle cérébrale, c'est un mannequin de mode dénudé que la caméra de Peter FOLDES caresse comme un corps étranger. Indifférente à ce qui l'entoure, cette femme s'ennuie. Elle semble ne pas entendre la conversation vulgaire de deux hommes qui mangent en attendant un certain Léopold qu'on ne verra jamais, pas plus que la radio qui diffuse un reportage angoissant. Pour se distraire, elle se fait les ongles, puis se met à rêver. Un monde imaginaire se substitue bientôt à la réalité, où des objets divers : bonbons, verres de vin, téléphone, fleurs, bijoux, perruque l'accaparent et l'occupent successivement ; objets du désir auxquels l'animation image par image donne une totale indépendance de mouvement. Puis la femme rêve de danse et sur une musique de François BAYLE, son corps dédoublé en couleurs décomposées se reflète et se multiplie comme dans un kaléidoscope. Après des images paroxystiques, le visage de la femme saccadé par les images violentes d'un film d'espionnage, une voix la ramène à la dure réalité du métier de modèle : il lui faut sourire et reprendre la pose pour une toile qui vante "le dentifrice aux fleurs".